Mercredi 4 mars
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Mercredi 4 mars 2009
. . . moins de tabous, mais un vécu encore difficile.
Question 38.
Quel est ce fruit ?
Si tu ne connais pas la réponse, tu peux utiliser le mot Joker reconstitué à partir des éléments donnés sur les bulletins municipaux des minivilles
Gaytan-Sussex
Mesperville
Quet'in love
Cuirville
Attention :
Les quatre éléments répartis dans les quatre villes sont nécessaires pour reconstituer le joker.
Le joker ne peut servir qu'une seule fois.
On se retrouve demain pour la suite du jeu et des photos.
Bonne journée

. . . moins de tabous, mais un vécu encore difficile.
L'association MAG-Jeunes Gais, Lesbiennes, Bi et Trans publie les
résultats d'un questionnaire lancé sur internet en avril 2008, auprès des jeunes (hétéros, homos, bi) de 14 à 21 ans, sur le vécu des jeunes homos et bi dans leurs établissements
scolaires et sur la façon dont le problème de l'homophobie y est traité.
Sans surprise, les résultats de ce questionnaire confirment que l'homosexualité, sans être totalement tabou, n'est pas un sujet facilement abordé en milieu scolaire.
Manque d'information et absence de réactions du personnel face à l'homophobie sont monnaie courante, entretenant ainsi des attitudes d'incompréhension et de rejet qui ont de fortes répercussions sur les jeunes homos et bisexuels.
Si des cours d'éducation sexuelle sont dispensés à une majorité d'élèves, seuls 29% de ces cours abordent l'homosexualité selon les répondants à l'enquête du MAG.
Pour ce qui est des interventions contre l'homophobie en milieu scolaire, seuls 5% des répondants en signalent dans leur établissement.
Pour ce qui est des manifestations d'homophobie à l'école, 42% des répondants de l'étude affirment en avoir été témoin sur un autre élève et 27% eux-mêmes victimes d'homophobie.
Ces manifestations sont des insultes le plus souvent, mais parfois aussi des violences physiques.
Selon 84% des sondés, l'homophobie n'est pas punie assez sévèrement à l'école.
Au quotidien, vivre son homosexualité à l'école n'apparaît pas évident. 42% des sondés disent éprouver des difficultés à assumer leur homosexualité et 35% indiquent avoir rompu avec des amis à cause de cela.
67% des sondés déclarent avoir vécu des épisodes dépressifs et 29% indiquent avoir déjà pensé au suicide (20% disent même avoir déjà tenté de se suicider).
Ces chiffres particulièrement élevés, confirment ceux d'autres études.
Petite lueur d'espoir cependant : 30% des répondants ont déjà travaillé sur l'homosexualité en classe dans le cadre de l'éducation civique ou de TPE.
Concernant l'encadrement scolaire, 10% des sondés ont déclaré avoir un professeur ouvertement homosexuel, tandis que la majorité l'ignore ou ne fait que des suppositions.
Pour ce qui est de s'ouvrir de son homosexualité au personnel encadrant, les professeurs viennent en tête (47%), alors que l'infirmière scolaire ne recueille que 5% seulement. Un chiffre qui a de quoi mettre en doute la pertinence de l'idée de Xavier Darcos de faire de ce membre de l'équipe pédagogique le référent pour les élèves en questionnement.
D'une manière générale, la confiance envers le personnel encadrant est limitée : 40% des sondés indiquent qu'en cas d'agression homophobe, ils n'iraient pas en référer à un membre de l'équipe encadrante. 21% des sondés estiment en effet que le personnel des établissements est homophobe.
Face à ces résultats, le MAG appelle à nouveau le ministère de l'Education nationale à "prendre ses responsabilités sur ces questions" et l'invite à "s'appuyer sur le travail de terrain fait par les associations pour lutter contre toutes les discriminations en milieu scolaire".
e-licco.com
Sans surprise, les résultats de ce questionnaire confirment que l'homosexualité, sans être totalement tabou, n'est pas un sujet facilement abordé en milieu scolaire.
Manque d'information et absence de réactions du personnel face à l'homophobie sont monnaie courante, entretenant ainsi des attitudes d'incompréhension et de rejet qui ont de fortes répercussions sur les jeunes homos et bisexuels.
Si des cours d'éducation sexuelle sont dispensés à une majorité d'élèves, seuls 29% de ces cours abordent l'homosexualité selon les répondants à l'enquête du MAG.
Pour ce qui est des interventions contre l'homophobie en milieu scolaire, seuls 5% des répondants en signalent dans leur établissement.
Pour ce qui est des manifestations d'homophobie à l'école, 42% des répondants de l'étude affirment en avoir été témoin sur un autre élève et 27% eux-mêmes victimes d'homophobie.
Ces manifestations sont des insultes le plus souvent, mais parfois aussi des violences physiques.
Selon 84% des sondés, l'homophobie n'est pas punie assez sévèrement à l'école.
Au quotidien, vivre son homosexualité à l'école n'apparaît pas évident. 42% des sondés disent éprouver des difficultés à assumer leur homosexualité et 35% indiquent avoir rompu avec des amis à cause de cela.
67% des sondés déclarent avoir vécu des épisodes dépressifs et 29% indiquent avoir déjà pensé au suicide (20% disent même avoir déjà tenté de se suicider).
Ces chiffres particulièrement élevés, confirment ceux d'autres études.
Petite lueur d'espoir cependant : 30% des répondants ont déjà travaillé sur l'homosexualité en classe dans le cadre de l'éducation civique ou de TPE.
Concernant l'encadrement scolaire, 10% des sondés ont déclaré avoir un professeur ouvertement homosexuel, tandis que la majorité l'ignore ou ne fait que des suppositions.
Pour ce qui est de s'ouvrir de son homosexualité au personnel encadrant, les professeurs viennent en tête (47%), alors que l'infirmière scolaire ne recueille que 5% seulement. Un chiffre qui a de quoi mettre en doute la pertinence de l'idée de Xavier Darcos de faire de ce membre de l'équipe pédagogique le référent pour les élèves en questionnement.
D'une manière générale, la confiance envers le personnel encadrant est limitée : 40% des sondés indiquent qu'en cas d'agression homophobe, ils n'iraient pas en référer à un membre de l'équipe encadrante. 21% des sondés estiment en effet que le personnel des établissements est homophobe.
Face à ces résultats, le MAG appelle à nouveau le ministère de l'Education nationale à "prendre ses responsabilités sur ces questions" et l'invite à "s'appuyer sur le travail de terrain fait par les associations pour lutter contre toutes les discriminations en milieu scolaire".
e-licco.com

Question 38.
Le troisième mot à trouver cette semaine désigne un fruit
renfermé dans une coque ligneuse. Voici un petit indice supplémentaire qui devrait t'aider à trouver ce mot de 4 lettres :
"L'abre qui porte le fruit s'est jeté à l'eau. Il a péri par
noyade."
Quel est ce fruit ?
Si tu ne connais pas la réponse, tu peux utiliser le mot Joker reconstitué à partir des éléments donnés sur les bulletins municipaux des minivilles
Gaytan-Sussex
Mesperville
Quet'in love
Cuirville
Attention :
Les quatre éléments répartis dans les quatre villes sont nécessaires pour reconstituer le joker.
Le joker ne peut servir qu'une seule fois.

On se retrouve demain pour la suite du jeu et des photos.

Bonne journée
Par Gaytan d'Ussex
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Publié dans : Jeux divers
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Communauté : Gay branle et jute
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