Histoires chaudes

Samedi 9 février 6 09 /02 /Fév 00:03

Mehdi (20)

Comme chaque samedi depuis le 29 septembre, nous retrouvons les Aventures de Mehdi.

Malheureusement, Jean me prévient qu'il n'a pas beaucoup de temps pour le moment et que nous ne pourrons avoir aujourd'hui que la première partie de sa soirée avec Mehdi chez les hommes de lois. La deuxième partie sera pour la semaine prochaine, s'il est plus inspiré. Voici une partie de son message...
" Les histoires de sexe, c'est comme les vidéos pornos. On en arrive vite au coeur du sujet, les scènes de sexe, qui je l'avoue ne me font plus bander. Ce sont toujours les mêmes, à la limite, on pourrait faire des copier/coller. On est trop dans un concret banal. Quel plaisir peut-on avoir à la longue à voir pendant des minutes interminables un piston qui fait son éternel va-et vient dans son cylindre ? Quand on en a vu un, on les a vus tous. Ce qui m'excite tant dans les films que dans les histoires, ce sont les préliminaires, les situations qui permettent à l'action de se dérouler. C'est là que l'imaginaire peut fonctionner à plein. C'est pour cela que c'est plus facile pour moi d'écrire le début des histoires que de les terminer.
Mais, promis, je m'efforcerai de faire la deuxième partie pour la semaine prochaine. Si on m'y encourage, ce sera sans doute plus facile...

Ce n’est pas dans mes habitudes de faire jouer mes relations, mais pour aider Mehdi, je n’ai pas hésité un instant.
Ayant beaucoup milité dans les mouvements associatifs et politiques pour faire voter les lois permettant aux personnes de même sexe de se marier et d’adopter des enfants, je connaissais un juriste éminent, magistrat à la cours de cassation, qui avait fait un énorme travail en coulisse pour mettre au point les textes adoptés par nos parlementaires.
Bien que ce ne soit pas un ami personnel, il me semblait être la personne indiquée pour nous conseiller au mieux sur l’attitude à prendre dans le procès que Mehdi intentait à son ancienne compagne pour faire reconnaître sa paternité.
Comme j’avais ses coordonnées, je l’ai appelé au téléphone pour lui rappeler qui j’étais et lui expliquer la situation, sollicitant ses conseils. Il me répondit que le mieux était que nous nous rencontrions pour étudier le dossier plus en profondeur. Etant donné sa position, il ne pouvait pas intervenir personnellement mais avait un ami avocat auquel il pouvait confier l’affaire. Il nous invita à dîner en compagnie de cet ami avocat. Nous étions attendus le lendemain vers 19 heures si cela nous convenait.
J’étais étonné qu’il se souvienne aussi bien de moi et heureux qu’il puisse nous recevoir aussi vite.
Le lendemain, nous sommes au bas de son appartement à 19 heures pile. Quelques minutes plus tard, nous entrons dans son somptueux appartement. Son ami avocat est déjà là. Je le reconnais pour l’avoir rencontré à plusieurs reprises dans les réunions militantes. Il était membre d’un parti partenaire du mien au gouvernement de l’époque.
Les salutations et mondanités d’usage étant terminées, nous en arrivons à parler du dossier. Jacques, le magistrat, et Michel, l’avocat, discutent entre eux des aspects techniques et juridiques de la question, ils interrogent Mehdi pour avoir tous les détails nécessaires à la défense du dossier. Certaines de leurs questions sur la vie sexuelle de Mehdi me paraissent bien indiscrètes. Ils veulent tout savoir sur ses pratiques, s’il est actif, passif ou autoreverse, s’il a plusieurs partenaires, s’il a déjà participé à des partouzes, s’il aime cela. Mehdi en vient à leur raconter son enfance, nous leur parlons aussi des quelques aventures que nous avons eu au sauna et avec les voisins.
Les deux hommes de lois semblent satisfaits des réponses qui leur sont données et Michel conclu en disant qu’il n’y aura aucun problème à défendre les intérêts de Mehdi.
-    Evidemment, pour toi, ce sera à titre purement amical, je ne te demanderai aucun honoraire, une rémunération en nature me suffira largement, lui dit-il.
Mehdi me regarde comme pour prendre mon avis.
-    Enfin, si Jean est d’accord, précise l’avocat, en me faisant un clin d’œil.
-    Mehdi fait ce qu’il veut, c’est à lui de voir s’il a envie ou pas, mais le prix ne doit pas l’inquiéter, je peux payer tes honoraires sans problème.
-    Ah non, je n’en suis pas encore à payer pour le sexe, s’il ne veut pas tant pis, il ne saura jamais ce qu’il rate. Je ne mélange pas travail et plaisir. Pour lui, c’est gratuit, ce qui est dit est dit !
-    Je n’ai pas dit non, intervient Mehdi. Il faut voir. Si Jean est d’accord, on peut faire un essai tous les quatre. Enfin, si Jacques est d’accord aussi.
-    Comme je le connais, ça m’étonnerait que Jacques ne soit pas d’accord, reprend Michel. N’est-ce pas mon chéri que tu aimes ça, les partouzes.
-    Et comment. Qui n’aimerait pas ça ? Je suis prêt, dit le magistrat en commençant à se déshabiller.
-    Alors, allons-y, dit Mehdi en se levant et en desserrant la ceinture de son pantalon.
En quelques secondes, nous sommes tous les quatre à poils. Michel est à genoux aux pieds de Mehdi et lui caresse le sexe en lui léchant les boules. Jacques se frotte le sexe contre les fesses de mon jeune ami en le tenant par la taille, tandis que je l’embrasse à pleine bouche pendant qu’il me caresse le sexe.

A suivre si vos encouragements sont suffisants…