Histoires chaudes

Samedi 12 avril 6 12 /04 /Avr 00:03

Mehdi (29)

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Je n’ai jamais su dire non, surtout pas à un joli garçon qui se montre très câlins. Pourtant, j’ai des scrupules à monter en chambre avec Erwin. Cela me gêne eu égard à Mehdi. Certes, il connaît les sentiments affectueux que j’ai pour Erwin et il sait que je ne rejetterai pas les avances de notre jeune voisin. Néanmoins, je ne souhaite pas lui faire de peine et lui donner l’impression d’être infidèle en ce moment où il est fragile. Il ne faut pas qu’il puisse douter de mon amour et de mon soutien dans les épreuves qu’il traverse.
Tout en montant les escaliers, je me décide d’expliquer mes états d’âme à Erwin et de lui proposer de postposer notre plan sexe. Pourquoi ne pas attendre le retour de Mehdi ? A trois, le plaisir ne pourrait être que plus intense.
-    Oui, on peut le faire à trois au soir quand il reviendra, mais en attendant, on fait quoi ? On ne va quand même pas attendre qu’il revienne pour s’embrasser, il vient seulement de partir. Tiens, sens dans quel état je suis.
Mehdi me prend la main et la pose sur sa braguette. Son sexe est effectivement dur comme une barre de fer.
-    C’est toi qui me mets dans cet état-là, poursuit-il. Tu ne vas pas m’obliger à rester ainsi jusqu’au soir. Il vient de partir. On a bien au moins 3 ou 4 heures devant nous avant qu’il revienne. On a tout le temps.
-    Oui mais ça me gêne quand même.
-    Pourquoi ça te gêne ? Parce qu’il n’est pas là ?
-    Oui.
-    Et quand je ne suis pas là, ça t’empêche de faire le sexe avec lui ?
-    Non.
-    Alors pourquoi ça t’empêche de faire le sexe avec moi s’il n’est pas là ? Tu l’aimes plus que moi ?
-    Non, mais il a plus besoin de moi que toi.
-    Ca, c’est toi qui le dis. Lui, il est toujours avec toi et quand il a envie de partir et de te laisser tout seul, il ne se prive pas. Moi, je suis toujours tout seul et je ne peux venir que quand je vois qu’il n’est pas là.
-    Tu peux venir quand tu veux, même quand Mehdi est là. D’ailleurs, on l’a fait l’autre jour. Tu as bien vu qu’il ya avait assez de place dans le lit pour trois.
-    Je suis venu parce qu’il te laissait tout seul et quand il est revenu, c’est à peine s’il ne m’a pas mis dehors. En pleine nuit !
-    Oui et tu as vu que je ne l’ai pas laissé faire.
-    Encore heureux. Bon, on fait quoi ? C’est oui ou c’est non finalement ? On a 3 heures devant nous avant qu’il revienne. En plus, il ne s’est pas privé de le faire avec nous quand tu n’étais pas là. Donc, il n’a rien à dire.
-    Tu as raison, mon chéri, mais vous n’étiez pas seuls tous les deux. Ton frère était là.
-    Et ça change quoi ?
-    Ce n’est pas la même chose. A trois, c’est un jeu. A deux, ça devient plus intime. Mais bon, tu as raison, on a tout le temps, on y va, surtout que j’ai bien envie de te soulager le gros bâton que tu as là.
Je joins le geste à la parole en lui tâtant le sexe à travers le pantalon. Il est toujours aussi raide. La discussion ne l’a pas fait débander.
Nous rentrons dans la chambre et il se couche tout habillé sur le lit. Il me tend les bras :
-    Tu viens.
Sans répondre, je me couche sur le lit. Il referme ses bras sur moi. Je le prends dans mes bras et l’embrasse à pleine bouche.
Pendant que nos langues se mélange, je détache sa ceinture, déboutonne sa braguette, plonge ma main dans son slip et m’empare de son sexe en érection. Je le décalotte et découvre à quel point il est en train de mouiller. Ma bouche quitte la sienne, je me retourne et me mets à quatre pattes au-dessus de lui. Soulevant son cul, il fait glisser son pantalon sur ses cuisses. Pendant que je le débarrasse de son pantalon, il se soulève le tronc pour enlever son sweet-shirt.
-    Déshabille-toi aussi, me dit-il en enlevant son t-shirt.
Je fais ce qu’il me demande puis me repositionne à 4 pattes au dessus de lui. Soulevant légèrement la tête, il prend mon pénis en bouche et entame une fellation pendant que je m’applique à le sucer.
Après quelques minutes de ce jeu, il soulève les jambes et crie :
-    Ah, stop, attends, tu vas me faire jouir.
Je me redresse, le regarde et lui demande :
-    Tu ne veux pas jouir ?
-    Non pas maintenant.
Je me retourne, le prends dans mes bras et ma bouche rejoint la sienne pendant que mon sexe se colle contre le sien. D’une main, je lui caresse le dos, descends vers ses fesses, m’insinue dans le sillon et d’un doigt lui titille l’anus.
-    Oh oui, continue, c’est bon me dit-il.
J’humidifie mon doigt avec de la salive et lui introduit dans son petit trou d’amour, ce qui le fait couiner de plaisir.
-    Arrête ! Je vais jouir.
Il se redresse, me fait coucher sur le dos, se met à genoux entre mes jambes et prend mon sexe pour le branler et le sucer. Il fait ça tellement bien que j’arrive rapidement au bord de l’explosion.
-    Pas si vite, attends, je vais jouir, lui dis-je.
-    C’est ce que je veux.
-    Non arrête !
N’écoutant pas mes supplications, il redouble d’ardeur et me fait jouir. Un premier jet s’écrase sur son visage, suivi d’autres. J’en reçois sur le torse et sur le ventre, il en a plein la main.
-    Putain, quelle explosion.
-    C’est de ta faute. Je t’avais prévenu.
-    Tu n’as pas aimé ?
-    Si beaucoup.
Il se couche sur moi, son sexe sur mon bas ventre et entame un rapide et vigoureux va-et-vient puis il tombe de tout son poids, la tête sur ma poitrine, en lançant un long soupir de satisfaction. Je sens les contractions de son sexe sur mon bas-ventre et les coulées se sperme chaud qui se repend sur moi. Sa bouche rejoint la mienne.
Nous restons ainsi pendant plusieurs minutes, sans rien dire. Il est le premier à rompre le silence.
-    J’ai faim.